« Il n'y a de vraie joie que dans notre présence au monde et dans la saisie de tout ce qui est encore vivant, puissant, persévérant même au cœur du malheur »

« Il n'y a de vraie joie que dans notre présence au monde et dans la saisie de tout ce qui est encore vivant, puissant, persévérant même au cœur du malheur »
(Baruch Spinoza Amsterdam 1632 - La Haye 1677).
Comment comprendre la joie au sens de Spinoza ? Est-ce un déni du malheur sur un mode stoïcien : Supporte et abstiens-toi (Epictète, 50 – 125 ap. J.-C.) Ou est-ce une autre manière d’être épicurien : apprécie ta joie en dépit même de ton malheur ?
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La joie est-elle comme un noyau « niché » au cœur du malheur, mais qui échapperait à la conscience de celle/celui qui se trouve affligé par l’épreuve du moment ? On en discute ce soir à Annemasse, ou dans le forum.